Hans Jürgen Syberberg assume, une fois encore, pleinement le parti-pris de théâtralité qui lui est cher et se livre à une nouvelle réflexion sur l'histoire. Se démarquant de l'oeuvre de Visconti, par son souci d'austérité, le film est traversé de scènes d'une fulgurante poésie. Indispensable.