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Nationalité :
États-Unis231
Durée : 1h55
Date de sortie en France : 22/12/1976
Distributeur : CIC
Visa d'exp. : 46460
Résumé
En l'an 2274, la vie et la mort de tout un chacun de la grande Cité de Verre, sont programmées automatiquement par un gigantesque ordinateur central. Les naissances sont strictement limitées et régies par de rigides incubateurs, les décès interviennent irrémédiablement à l'âge de trente ans pour éviter une catastrophique surpopulation. Dans ce monde "orwellien",des dissidents fugitifs, vivant hors des contraintes draconiennes, sont pris en chasse par des spécialistes de la "récupération".
Critiques et Commentaires
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Honnête petit film de science-fiction qui délasse plutôt que de dénoncer un avenir monstrueux et qui permet ainsi de passer un agréable moment, en attendant.
Critiques - Commentaires Public
25439
inconnu(e)
Une mise en scène un peu molle pour des moyens cependant considérables. Quelques séquences sont de bonne facture. Salle des plaisirs, visite chez les jeunes louveteaux rebelles, ce thème d'anticipation aurait pu être porteur de délires supplémentaires.
1805
Une très sympathique œuvre de science-fiction réalisée sur un sujet original qui nous change de tous ces films archi-classiques avec tous leurs gadgets futuristes où l'on connait de toute façon par avance la suite de l'histoire. De plus le film est accompagné d'une excellente musique qui lui colle si bien et de superbes décors avec de plus un bon scénario, on obtient un film qui se laisse regarder avec plaisir. Sans pour autant valoir la machine à remonter le temps qui aspire aussi a une future civilisation de plaisir.
7046
En l’an 2274 aucune ressource fille ou garçon ne dépasse sa trentième année, ceci offre l’avantage d’un agréable défilé d’ouverture de jeunes et ravissantes créatures revêtues d’un mince linge coloré sur le fil du rasoir de la nuisette. Ce futur est bien tentant, pour ceux du moins ne désirant que chasser, tuer et aimer à temps complet. Les compagnes temporaires se programment en se transformant illico presto d’hologrammes en créatures réelles prêtes à la consommation."Logan’s Run" œuvre futuriste s’ébat plutôt dans des décors rappelant par moments Roissy ou l’entrée sortie d’un immeuble de la Défense aux heures de bureaux.Les décors malgré quelques ingéniosités font maquettes avec des transports mal calibrés par des vitesses excessives, ce n’est pas grand-chose, mais la fusion entre le spectateur et ces temps qu’il ne connaîtra pas, s’en ressent.L’attrait se dissipe à la vitesse de ce convoi se dissolvant à vive allure dans des paysages urbains que "Blade Runner" rendra bien plus adulte.Les coiffures des personnages ressemble étonnamment aux passagers de "La croisière s’amuse", certains brushings ferait pâlir Sue Ellen, tout en méritant le Guinness.Le contexte est plus seventies que futuriste, avec entre autres la présence de Farah Fawcett, égérie bien oubliée de ces années de plus en plus lointaines.Un rouge vif tutoie un vert pâle dans d’immenses salles métalliques où une technologie peu crédible se gère par un presse bouton en pleine maturité. Bref dans sa partie sédentaire l’œuvre a bien du mal à s’extraire du contemporain des années de son élaboration.Par contre la découverte de l’extérieur par les fugitifs réveille une machinerie futuriste bien plus à l’aise à l’air libre. Là au moins quelques trouvailles bienheureuses illuminent des pupilles préalablement en berne.