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HONNI SOIT QUI MAL Y PENSE-1947-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The bishop's wife
Durée : 1h48
Date de sortie en France : 07/07/1948
Genre : COMÉDIE
Themes
Réalisation : Henry KOSTER
Inspiration : D'après le roman éponyme de Robert NATHAN
Prise de vues : Gregg TOLAND
Musique : Hugo FRIEDHOFER
Récompenses
Oscar de la meilleure bande-son 1948
Nota
à l'origine, les rôles tenus par Grant et Niven devaient être inversés .....
Distributeur : RKO
Visa d'exp. : 7384
Résumé
Appelé à l'aide, par un membre du clergé (l'évêque épiscopalien Henry Brougham) en mal d'inspiration pour récupérer les fonds nécessaires à la construction d'une cathédrale, un ange vient au secours de l'homme d'Eglise. Charmant, charmeur, l'envoyé divin va prendre la situation en mains.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Une comédie non dénuée d'humour, sur un fond un peu naïf, voire quelquefois agaçant ("tout le monde est bon") où Cary Grant et David Niven font de leur mieux pour "solidifier" une réalisation de temps à autre bancale et souvent vacillante.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
A voir, ne serait-ce que pour le réjouissant spectacle d'un David Niven complètement perturbé, cherchant à table un pied de céleri dans les poches de sa veste .
Note : 13/20
Sous des apparences naïves, j'ai trouvé ce film sympathique. Il évoque les errements d'un homme qui fait appel à un ange (et quel ange lui envoie-t-on !) qui s'occupe si bien de ses affaires qu'il manque de lui piquer sa femme. Bien sûr l'histoire est gentillette, simpliste et irréaliste. Mais elle est aussi drôle et si l'on y regarde bien, cette idée d'un être (ange ou pas) venu d'ailleurs pour arranger et égayer la vie de simples mortels en leur permettant de voir les choses sous un angle différent pour revenir à l'essentiel a été reprise dans moult romans, films ou téléfilms (pas toujours excellents, mais c'est une autre question). Les acteurs sont "dedans" et le charme opère, avec humour et légèreté. J'ai trouvé quelque chose d'intemporel et de féminin dans ce film, qui semble vouloir dire que la vie est plus simple qu'on ne se l'imagine.
Bibliographie