Une pénible rature, même pas digne d'un médiocre téléfilm américain, avec des lourdeurs scénaristiques insupportables, d'indigestes longueurs fort pesantes (scènes du procès), un jeu des principaux acteurs trop appuyé au point de prêter à sourire, voire aux ricanements. Tout cela concocté avec une technicité lamentable (écrans multiples, solarisation) accréditant avec force et pertinence, l'inconsistance d'un synopsis, au sujet honteusement galvaudé, parachevé d'une fin des plus risibles et des plus bancales. Mais qu'est donc venue faire Charlotte Rampling dans cette galère ?