Tentative balbutiante pour donner au film érotique, un statut de création artistique hors des habituelles limites ou contraintes du genre, commencée essentiellement par la production scandinave. Ce qui par contre est beaucoup plus pendable et médiocre, c'est l'impudeur et le parti pris d'une chaîne de TV se targuant de cinéphilie pointue, de projeter ce film en 2016, à une heure nocturne (22h30) avec vingt minutes de coupures incompréhensibles par rapport à la version originale projetée en salles en 1972.