La première partie du film est très intéressante car elle mêle implicitement les souvenirs fantasmés de Tako et ceux fictionnisés de l’histoire officielle de l’Hongrie.
La scène au cours de laquelle une étudiante juive évoque ses souvenirs rêvés d'Auschwitz gâche un peu l’ensemble car elle est bavarde et inutilement explicite [1h02] comme celle de l’aveu final [1h25]. La musique extradiégétique n’est pas toujours convaincante, mais la photographie de
Sándor Sára fait oublier tous ces défauts.
Monde en Question