Aucun résultat pour cette recherche
LADIES OF THE JURY-1932-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Ladies of the jury
Durée : 1h05
Film Inédit en salle en France
Themes
Réalisation : Lowell SHERMAN
Inspiration : D'après une pièce de théâtre de John Frederick BALLARD
Prise de vues : Jack MAC KENZIE
Musique : Max STEINER
Production William LE BARON
Distributeur : Radio Pictures
Résumé
Mrs Livingston Baldwin Crane, représentante d'une très vieille famille bourgeoise, se singularise par un caractère particulièrement trempé et une loquacité débordante. Elle est désignée pour participer à un jury d'assises. L'accusée, une certaine Yvette Gordon, est une jeune femme qui aurait tué son époux bien plus âgé qu'elle, avec un révolver, afin de s'approprier sa fortune. Après quelques joutes oratoires et d'insidieux affrontements verbaux et publics, dans la salle du tribunal, entre Rutherford Dale, l'avocat de la défense et le dénommé Halsey Van Stye, le procureur, la délibération en huis-clos commence. L'ancienne danseuse est largement considérée comme coupable, retrouvée une arme à la main à côté de la victime, par miss Evelyn Elaine Snow, sa bonne, ce que corrobore le premier vote du jury réuni à huis clos. En effet, c'est Mrs Livingston seule, parmi les douze jurés présents, qui s'inscrit en faux et fait enquêter discrètement sur le neveu du défunt, malgré l'interdiction formelle de tout contact avec l'extérieur. Avec beaucoup de subtilités, une infime dose de rouerie et un sens aigu de la psychologie, elle parviendra à modifier les convictions et les a priori de bien des jurés, parvenant même à convaincre le groupe de se rendre sur les lieux du crime.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Rien à retenir particulièrement de cette œuvre américaine restée inédite en salles dans l'hexagone, qui exsude une trame conventionnelle dérivée de ses origines théâtrales. Reste tout de même la présence et l'interprétation de l'actrice principale, Edna May Oliver et son caractéristique faciès chevalin qui lui faisait dire, avec humour et finesse, que "lorsqu'elle vieillira, elle ne perdrait pas sa beauté".
Ajouter Votre
Critique/Commentaire