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MARCHE A L'OMBRE-1984-
Nationalité : France
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 17/10/1984
Themes
Hôtels
- cinéma français -
Danse
- cinéma français -
Milieu médical
- cinéma français -
Racisme
- cinéma français -
Métro
- cinéma français -
Chômage
- cinéma français -
Réalisation : Michel BLANC
Prise de vues : Eduardo SERRA
Conseiller technique : Daniel VÉRITÉ et Roland NEUNREUTHER
Conseiller technique : Patrick DEWOLF
Distributeur : Fechner - Gaumont
Visa d'exp. : 58611
Résumé
Deux inséparables amis d'enfance, François et Denis, de retour d'une virée en Grèce, décident de quitter Marseille et de monter sur Paris afin de faire fortune, dans l'espace et la diversité de la capitale, via un vague tuyau fourni pour un hypothétique contact dans un incertain bistrot parisien. Après quelques déboires dans un miteux hôtel, tenu par un infâme personnage (excellent Jean-François Derec) ils se retrouvent hébergés par des squatters noirs au milieu leur incroyable et bienvenu capharnaüm. Délogement express après une efficace et abrupte descente de police plutôt inattendue. Ne reste plus qu'à faire la manche, sous la pluie, dans les couloirs du métro, ici et là, louvoyer dans l'illicite trafic de montres volés ou de vêtements dégriffés. Et quand la fragile histoire d'amour entre François et sa fluette Mathilde, une jeune danseuse en instance de partir pour les States semble s'achever, nos deux compères ne trouvent pas mieux que de s'embarquer illico presto pour la grande mégalopole new-yorkaise.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Premier film de Michel Blanc comme metteur en scène, encore un transfuge du "café-théâtre" assailli par le démon de la réalisation, qui procure un certain plaisir, mais qui finalement s'oublie vite, comme un discret et fugitif coup de soleil printanier.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
signature non-référencée
Enfin, Michel Blanc à la composition, avec des bons gags qui dépassent parfois l'humour du café-théâtre... Bref, une comédie bien sympathique, pour un Gérard Lanvin et un Michel Blanc assez charmants Il est bien étonnant que Michel Blanc n'ait pas envie de passer à d'autres réalisations. Une réussite et une année 1984 assez fertile pour ce cinéaste. JOSEPH LEJEUNE. 10000 TROYES.
Bibliographie