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CHARLIE CHAN A MONTE-CARLO-1937-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Charlie Chan at Monte-Carlo
Durée : 1h05
Genre : POLICIER
Themes
Taxis
- cinéma américain -
Hôtels
- cinéma américain -
Réalisation : Eugene FORDE
D'après une histoire de Robert ELLIS et Helen LOGAN
Prise de vues : Daniel B. CLARK
Musique : Samuel KAYLIN
Produit par John STONE
Distributeur : 20th Century Fox
Résumé
De passage à Monte-Carlo, avant de rejoindre Paris avec son fils Lee, où ce dernier participe à une exposition de peinture, Charlie Chan se retrouve, malgré lui, mêlé à une sombre affaire de meurtre lorsqu'il découvre sur le chemin de l'aéroport une luxueuse voiture, arrêtée en bord de route, avec un évident cadavre, encore tiède, dans son confortable habitacle. L'enquête menée par le chef de la police locale, le volubile Jules Etienne Joubert, plein de déférence et d'attention pour notre réputé détective américain de passage, va peu à peu se cristalliser sur une sombre rivalité opposant deux redoutables financiers, le libidineux Paul Savarin et le retors Victor Karnoff, sur fond de magouilles concernant des titres boursiers d'une compagnie de métallurgie. Pour corser l'affairiste tambouille, qui tendrait à provoquer la ruine de l'un des deux hommes d'affaires, on joindra à la sauce de l'intrigue bien peu relevée, une aventurière sans scrupules, un secrétaire magouilleur, une épouse que l'on fait chanter, un barman profiteur et pour (dé)lier l'ensemble, le tranquille génie investigateur de Charlie Chan qui résoudra la sordide affaire, bien plus rapidement que notre vague compréhension.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Ultime film de Warner Oland dans le rôle du pandore yankee d'origine chinoise, inventé par le prolifique Earl Derr Biggers, cette oeuvre policière a du mal à prendre ses marques, entre une introduction longue et fastidieuse, une histoire sans aucun intérêt et une réalisation souvent insipide. Une des productions la moins convaincante de la conséquente série dont nous ne retiendrons que la composition toute en ouatine et en sinuosité du suave Harold Huber, dans le rôle du chef de la police monégasque.
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