Aucun résultat pour cette recherche
LE GRAND BLEU-1987-
Nationalité : France
Durée : 2h12
Date de sortie en France : 11/05/1988
Genre : AVENTURES
Themes
Suicide
- cinéma français -
Cécité
- cinéma français -
Bateaux de croisière
- cinéma italien -
Réalisation : Luc BESSON
Prise de vues : Carlo VARINI
Musique : Eric SERRA
Conseiller technique : Jacques MAYOL
Autres Récompenses
César 1988 du meilleur son
Nota
il existe version longue du film qui dure 2 heures 40
Dédicace du film : "A ma fille Juliette"
Distributeur : Gaumont
Visa d'exp. : 65582
Résumé
En Grèce, dans les années 60, deux gosses Enzo et Jacques se lient d'une profonde amitié. Le temps passe. Des années plus tard, les deux compères se retrouvent lors de compétitions internationales de plongée sous-marine en apnée. Une constante et discrète rivalité, faite d'estime et d'affection, s'installe entre les amis retrouvés, au fil des diverses rencontres, qu'aucune histoire d'amour ne pourra ternir, liés tous deux par une irrépressible passion pour la mer et la plongée.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Film fort controversé lors de sa sortie qui somme toute est plutôt prenant, voire asphyxiant, souffrant hélas de trop de longueur et de lenteur dans son déroulement.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Toutes les fois j'en redecouvre ... mais une question me pèse : cette phrase : "A ma fille Juliette" Que doit t'on comprendre ... est-ce toi Jacques, cet être disparu en 2001 qui a eu une Juliette ? est-ce toi Luc? ou est-ce que je rêve.
inconnu(e)
Une superbe photographie, pour qui aime la mer bien sûr, mais qui ne l'aime pas et même ceux qui ne l'aiment pas encore changeront certainement d'avis.. Il y a peut-être quelques longueurs cà et là, mais la présence de nombreuses touches d'humour les font bien vite oublier.... Peut conduire à une réflexion sur les origines de la vie, comme ici, une vie qui se serait trompée d'enveloppe... devenue humaine au lieu de marine, car Jacques, notre héros, ne se sent pas un homme, et n'hésite pas longtemps quand il va choisir....Comme le disait un de ses compagnons, en plein Pérou " Jacques, mais Jacques ne respire pas !!!!! " Théodule
J'arrive pas à croire que certains l'on vu 40 fois. Ce "grand bleu" est un film où l'on s'est rarement autant ennuyé. Qu'est ce que c'est chiant et pompeux. bheurrk !!!
inconnu(e)
Heureusement qu'Andreas Voutsinas relève le niveau de cette merde de film, vas-y Andreas, t'es le meilleur (pouet-pouet, fait le klaxon d'Andreas quand il ouvre les portes... pour débusquer les charlots)
signature non-référencée
J'ai beaucoup aimée « Le grand bleu ». Ce film super qui m'a fait découvrir la mer et ses profondeurs. Je remercie Jean-Marc Barr et Enzo de nous avoir donne de très bons moments. félicitations à tous. Merci. Une admiratrice : MANUELA.
inconnu(e)
J'ai vu le film une bonne douzaine de fois et jamais je ne m'en lasserai... le bleu, les dauphins sur lesquels je fais des recherches désormais, Rosanna, Enzo, Mamma, Eric pour sa musique incommensurable, Luc pour l'ensemble si artistiquement coordonné et produit, et surtout Jean-Marc pour son rôle, sa présence, son interprétation et sa manière de nous faire tous rêver, et de nous montrer que sur le terre n'existe pas seulement des "ordures" m e r c i a t o u s.....
inconnu(e)
A toi Jacques, et à toute l'équipe du "g r a n d b l e u" sans lequel je ne pourrai jamais plus vivre : m e r c i J'ai déjà essayé de trouver un autre mot pour exprimer ce que ce film représente, tellement de souvenirs pour moi ..... rêveuse de nature, je suis depuis ce film réellement "droguée" de ce film ...... Pourquoi Jean-Marc, mon Jacques, ne réponds-tu pas, lorsque j'écris à ton fan-club .....
inconnu(e)
Pour les uns, je suis folle pour les autres, ceux qui l'on aime, sachez que le Gaumont de Caen, ma ville l'a eu un an complet dans sa salle la plus grande et je l'ai vu 4 fois durant ce laps de temps et il y a eu autant de monde en l'espace de plusieurs séances ....... Les Caennais et autres Normands sont plus que cinglés... non !? Moi je l'ai adoré, et adoré la musique d'Eric Serra dont j'ai le double disque. Bravo à toute l'équipe. Je serais là pour "Atlantis". Gaumont à pris la musique comme annonce pour la pub. Génial !
inconnu(e)
Ce n'est pas la lenteur le défaut principal de ce film, c'est son absence d'intelligence, de réalisme et d'irréalisme.
inconnu(e)
« Le grand bleu ». J'entends déjà hurler ceux qui ne l'aime pas. « Le grand bleu » je l'ai vu 9 fois. Toutes les versions, v.o, v.f, longue et courte; et j'ai aimé, adoré. C'est vivant, vrai et humain. On se moque ce ceux qui détestent, et qui ici même font une critique bien sentie, se sentant exaltés d'avoir craché leur venin, ils n'effaceront pas les sourires des dauphins.
Diantre! qui aura le courage de lire 18 critiques avant d'avoir accès à la mienne? Il en aura de toutes les couleurs. Du dithyrambique passionné au blasé conspuateur. Qui veut se distinguer ? J'ai vu deux fois le film, une fois pour chaque version. N'étant pas romantique, je n'ai pas subi de vague à l'âme sous-marin. J'ai simplement aimé ce film parce que j'aime la mer, j'aime les dauphins, j'aime l'extrême et je méprise les critiques de Cannes. Ce film est un monument dans le ciné français parce qu'il prouve que nous pouvons égaler les Américains, même sans I.L.M. et ceux-ci n'y ont comme d'habitude rien compris.
J’aime autant vous le dire tout de suite j'ai vu "Le grand bleu" sur canal plus. Et je sais pertinemment que ma perception du film n'aurait pas été changée en salle. Si, peut-être que tout ce bleu m'aurait endormi. je vous entends déjà: "ouaaaaa...le blasphémateur!!! Mais, je le dis et le répète, "le grand bleu" n'est qu'un bon film comme un autre, et je n'irais pas le voir quarante fois. Voilà.
signature non-référencée
Le grand bleu ?? Le titre n'était pas trop mauvais en lui-même. L'affiche n'était pas non plus si mal. Donc, résigné, je suis allé voir le film .....Et la! oh stupeur! Je vis devant moi le navet de l'année! Le premier quart d'heure du film n'était pas trop mal... mais ensuite, nul, nul, nul, nul. Des espèces de trisomiques en train de se disputer à qui irait le plus profond; une hystérique en plein délire et j'en passe et des meilleures!!! Bref le grand bleu se résume en trois mots: ennui, nullité, conneries. TV.
inconnu(e)
De la frime en cinémascope, un mélange pour touristes de « ushuiayyya » et de musiques poisseuses style Jarre. Son bide aux USA est la vraie réponse à ce légendaire navet porté aux nues à la foire au gogos.
inconnu(e)
Suis entré dans la salle. Assis dans mon fauteuil. Ai regarde l'écran. Puis plus rien. Me souviens vaguement d'un magma informe d'images: Rosanna Arquette, nulle à chier, images pas belles, dégouline de niaiserie, réalisation statique... 3 heures gâchées, écœuré, excusez-moi, je vais gerber un coup, beuaaaaark. un starfixien en colère.
En un an de projection depuis sa sortie dans la même salle je l'ai vu 4 fois et je le reverrai encore ..... Avec « E.T. » et « Ben Hur » et « Les 10 commandements », c'est celui le plus fort pour moi ..... « Danse avec les loups ». idem !
signature non-référencée
Bravo à Jacques Enzo et Luc Besson qui ont mis en place un film hors du commun, super, que j'ai vu deux fois et que je désire à tout prix revoir ..... Je vous embrasse bien fort et encore bravo. AMELIE.
inconnu(e)
Ce film est vraiment celui de l'année... de par sa beauté, de par sa merveilleuse atmosphère et de par son émotion qui nous tient tout au long de ce spectacle. Car en effet, ce film est un spectacle grandiose qui restera, je l'espère, à jamais dans l'histoire du cinéma français et même mondial.
inconnu(e)
Ne cherchez pas à le retenir ou partez avec lui. L'eau, et se dire qu'on est bien mieux en bas. Le désir l'emporte sur la raison et la raison se noie dans le bleu profond comme une pierre qui coule sans jamais flotter..... les yeux remplis de larmes qui distillent peu à peu cette précieuse eau salée qui ira un jour ou l'autre rejoindre le bleu ....... se laisser porter par les courants, ne plus penser à rien et suivre les dauphins jusqu'au bout, peut-être pour échapper à un monde que l'on a jamais vraiment compris, un monde sec ou rien ne flotte ..... Quand vous verrez quelqu'un suivre son rêve, ne l'arrêtez pas et si un jour vous voyez un dauphin, caressez-le.
signature non-référencée
C'est fort... c'est immense... c'est immensément fort... fortement immense... sourires et tristesse sont ici omniprésents... estinée nous te choisissons... ou bien...??? Ce film est génialement super et un bonjour aux dauphins de ce long métrage. LIONEL.
inconnu(e)
Critique comme une lettre à Besson ... J'aimerai pouvoir vous parler comme à un ami parce que pendant ce film, j'ai eu l'impression de vivre et c'est si rare. « Le grand bleu » m'a bouleversée pour longtemps. Longtemps encore, je rêverais de cette vie que je ne connais pas. Votre film restera et c'est l'essentiel. Je ne peux que vous dire merci, même si ce mot ne correspond en rien à ce que je voudrais exprimer : joie, émotion ..... et gratitude ....... amertume d'avoir une existence si petite.
inconnu(e)
Je ne suis pas d'accord avec la critique générale. Cf le résume du film. La longueur était nécessaire pour bien souligner tous les détails de ce film qui ont leur importance. Quant à la lenteur, elle laisse la place à l'émotion et à la sensibilité, au trop-plein de tendresse. remarquablement interprété, menant du rire aux larmes sans difficultés... et seuls ont pu rester indifférents les gens qui n'ont pas de place dans leur cœur pour l'émotion et le rêve ..... Film merveilleux où les moindres détails ont leur importance. Grande réussite dans le cinéma français ... une musique très belle et des images qui font rêver couronnent ce chef-d'œuvre.
inconnu(e)
Immense ... grandiose ... merveilleuse réalisation que ce film. merveilleux personnages également que l'on n'aurait pas hésité à suivre dans les abysses de l'océan ..... Un film que l'on n'est pas près d'oublier, que la laideur de la vie de tous les jours ne pourra jamais salir ni effacer. le bleu, le mystère de l'océan et de ces drôles de raisons qu'on a de vouloir toujours aller plus loin, très loin, trop loin ...... mais si ce monde nous en empêche, alors c'est ce monde qui n'est pas bon.... le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas.. Peut-être est ce un peu ce que je ressens en ce moment.
signature non-référencée
Un film immense, sublime, qui s'imprègne à jamais dans nos esprits, et que rien ne viendra jamais souiller ni effacer ... jusqu'au bout de vos rêves ..... quelqu'ils soient ....... et jusqu'au bout de vos larmes de n'avoir pas le courage de réaliser vos rêves comme l'a fait ce "petit prince" pour rejoindre son royaume ...... faut-il croire à l'impossible ? ou accepter et choisir la destinée toute tracée ? faut-il remuer les montagnes, briser les murs de verre derrière lesquels ont voit les êtres sans pouvoir les rejoindre ... se laisser couler au fond de l'océan là où tout se rejoint???? Au-delà de l'écran.... JOHANNA.
inconnu(e)
Avis à ceux qui n'aiment pas les compromis douteux : "abstenez-vous" ....... mi grand public, mi mélo pseudo-psychologique, si vous n'avez pas une grande exigence de rigueur dans le genre cinématographique vous aimerez peut-être le documentaire sur l'apnée, les fonds marins et les dauphins, mélange d' »Ushuia », de « Cousteau » et de « Flipper », les histoires à "l'eau" de rose, clean et branchées, les trames psychologiques faciles (vengeance de la mer, la mère qui est partie, le papa mort .....)
inconnu(e)
Superbe.... grandiose.... tout simplement génial, je crois que tous ceux qui considèrent ce chef-d'œuvre comme un documentaire sur la mer n'ont rien compris au film. Sous l'émotion qui m'habite encore je ne peux dire qu'une seule chose : merci Luc Besson
inconnu(e)
Quand les jeux d'enfants deviennent macabres entre adultes qui jouent avec les limites de leurs corps ..... Mais où sont la limpidité, la sérénité, et la santé auxquelles prétendent le titre et la publicité du film ? La "mare au diable" conviendrait bien plus à ce navet ringard.
De profondis ...Deux hommes engloutis par leur passion marine. Le tragique de cette histoire de profondeurs, Même dépourvu de violence est déchirant ... et Rosanna Arquette semble bien perdue dans cette histoire d'hommes et d'hommes peu communs ... Une superbe histoire, d'autant plus bienvenue à une époque où le cinéma se répète beaucoup, trop ... Luc Besson se confirme ici comme l'un des cinéastes les plus frais de sa génération ... D.W. GRAPHITE.
signature non-référencée
Sensibilité, émotion, simplicité, sensations sont les ingrédients du film de Luc Besson. Film merveilleux, extra-terrestre ou intra-aquatique où l'homme devient poisson et le poisson humain ..... Merci pour ce petit prince, amoureux des sirènes, de l'inaccessible qui nous rappelle que mourir pour son but vaut mieux que vivre pour rien et que l'imaginaire peut devenir réalité. Une version "longue" à ne pas rater. Merci Jean-Marc Barr, merci Jean Reno, merci Luc Besson, merci Jacques Mayol : pour ce film d'homme, de dieux et de poisson. Merci de me faire découvrir un père dauphin que je connais si peu. C. Mayol.
signature non-référencée
Le grand bleu... Jacques Mayol, ton sourire de dauphin flottera à jamais sur mes lèvres... Merci Luc Besson, grâce à toi j'ai sombré dans le rêve, le regard vague et ébloui ; tu m'as donné une nouvelle vision de la mer que je connais pourtant si bien. Jacques Mayol a apprivoisé la mer, moi, c'est la mer qui m'a apprivoisée ..... HELENE.
signature non-référencée
Merci à toi Jacques et aux acteurs qui ont su montrer un film "unique" qui nous ont fait savourer le plaisir de la mer, de ses animaux extraordinaires et que la vie est plus belle quand elle se passe dessous. Merci aussi à Luc Besson, Eric Serra et sa musique passionnante et à "Enzo", "Jacques"..... Vous avez fait rêver le monde, soyez en conscients. Encore merci..... GREGORY.
Bibliographie