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THE HALF NAKED TRUTH-1932-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The half naked truth
Durée : 1h15
Genre : DRAME
Themes
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma américain -
Hôtels
- cinéma américain -
Photos et photographes
- cinéma américain -
Réalisation : Gregory LA CAVA
Inspiration : D'après un livre de Harry REICHENBACH
Prise de vues : Bert GLENNON
Musique : Max STEINER
Distributeur : RKO
Résumé
Jimmy Bates est un excellent bonimenteur, à l'imagination débordante et fertile, qui a mis en place, à la traditionnelle fête foraine d'Appleton en Pennsylvanie, un numéro de danse exotique dans lequel sa protégée, prénommée Teresita, s'exhibe sous le pseudonyme de la belle Sultana dans de suggestifs déhanchements, sous l'œil impassible d'Achilles, un comparse déguisé en "authentique" protecteur turc. Pour pimenter les recettes, Bates annonce à l'assistance que lors de la représentation du soir, elle va dévoiler le nom de son vrai père qui habite la ville et qui a fauté avec sa mère, âgée seulement de dix-sept ans, mais déjà artiste itinérante. L'idée se révèle fort lucrative, mais des confidences d'Achilles fortement imbibé, à quelques discrets agents du shérif local, fait capoter l'affaire et oblige notre trio de fuir dare-dare avec une voiture rapidement "emprunté". Quelques semaines plus tard, les voilà à Broadway, avec une nouvelle combine en place, en se faisant attribuer frauduleusement la suite impériale de l'hôtel Savoy-Ritz. C'est ainsi que la princesse Akbar Exotica, accompagnée de son eunuque favori et du manager attitré débarquent à New York, bien décidée à devenir une éminente vedette de la scène grâce au grand ordonnateur des spectacles de la cité, l'affairé et puissant Farrell qu'il va falloir séduire et convaincre.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Bien des ingrédients pour un chef-d'oeuvre de la comédie américaine étaient présents, en place dans cette production pour contribuer à l'inoubliable : des acteurs bienvenus, convaincus de leurs rôles et un scénario original ponctué de gags inédits et succulents. Hélas, la mise en scène ne suit pas le rythme allègre de l'histoire, piétinant sans cesse dans le poussif et la lourdeur, sans aucun zeste de brillance et de légèreté. Il est vrai que La Cava n'est que l'ombre de Lubitsch et l'ectoplasme de Capra.
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