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TANT QU'IL Y AURA DES HOMMES-1953-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : From here to eternity
Durée : 1h56
Date de sortie en France : 27/03/1954
Genre : DRAME
Themes
Armée
- cinéma américain -
Boxe
- cinéma américain -
Réalisation : Fred ZINNEMANN
Scénario : Daniel TARADASH
Inspiration : D'après le roman éponyme de James JONES
Prise de vues : Burnett GUFFEY
Montage : William A. LYON
Autres Récompenses
- Oscar 1953 du Meilleur Son pour John P. Livadary - Prix Spécial pour Fred Zinnemann, Cannes 1954
- Prix 1954 Directors Guild of America pour Fred Zinnemann et Earl Bellamy (assistant)
Distributeur : Columbia
Visa d'exp. : 14829
Résumé
Le film débute en 1941 aux fameuses îles Hawaï, et raconte l'insubordination de trois soldats américains face aux constantes brimades et aux sévices d'un sergent sadique. A la fin, l'inattendue et meurtrière attaque des Japonais sur Pearl Harbour.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Un classique du cinéma américain des années 1950, qui décrocha une moisson d'Oscars (huit). Fred Zinnemann put s'installer définitivement au firmament des metteurs en scène, avec également "Le train sifflera trois fois" réalisé l'année suivante.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Moi aussi j'ai adoré ce film, un chef-d'oeuvre. Mais pourquoi avoir juger scandaleux, la fameuse et très belle scène du baiser de Burt Lancaster et Deborah Kerr, sur la plage, scène culte et mythique du film, l'une des plus belles scènes d'amour. Oscar pour Frankie Sinatra et Donna Reed. Chapeau ! et aussi magistrale interprétation des autres comédiens de ce film, que je n'oublie pas bien sûr.
Les brimades, l’adultère, la séduction et les règlements de comptes entretiennent le quotidien d’une marmite militaire, temporairement préservée d’une attaque surprise japonaise. Chacun en fonction de ses désillusions pleure une maternité non assouvie, une droite trop appuyée ou un arrivisme momentanément à quai. La totalité de ces bilans n’étant bien souvent que des états d’âmes formatés par la récurrence de la vie en caserne. Faute d’adrénaline le soldat se baigne, se saoule ou sort la lame dans des ruelles sombres. Finalement ce sont les femmes qui par leur réalisme ont le dernier mot en prenant la décision de s’assumer loin de ces terres où l’homme immature ou paillard est dans l’incapacité de remplir une fonction de mari ou de père.