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LE DETRAQUE-1972-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The mad bomber
Durée : 1h30
Date de sortie en France : 13/12/1973
Genre : THRILLER
Themes
Tueurs psychopathes
- cinéma américain -
Milieu médical
- cinéma américain -
Mutité
- cinéma américain -
Photos et photographes
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Réalisation : Bert I. GORDON
Prise de vues : Bert I. GORDON
Musique : Michel MENTION
Distributeur : Alpha France
Visa d'exp. : 43250
Résumé
La ville de Los Angeles subit depuis quelques semaines les bombes d'un mystérieux détraqué qui piège un supermarché, une université, un hôpital, d'une façon incohérente pour les enquêteurs, sans apparemment de réelle cohérence meurtrière, mais d'une rare efficacité, semant mort et désolation, à chacune de ses exactions. C'est en fait un homme profondément perturbé par la mort de sa fille, décédée d'une overdose de drogue. Par obsession de vengeance et "d'assainissement" il veut détruire tous les lieux où son enfant a pu mal tourner. Sa solide paranoïa contre le "désordre" sociétal le pousse à intervenir à tous bouts de champ pour dénoncer et rabrouer les nombreux quidams sujets à de quotidiennes incivilités (jeter un papier dans la rue, ne pas respecter le code de la route, déroger aux droits du consommateur, impolitesse et manque de courtoisie, etc...) Parallèlement, un autre psychopathe, obsédé sexuel et violeur en série, un certain George Fromley, hante aussi la dangereuse mégalopole et qui, lors d'une de ses violentes et traumatisantes agressions, a croisé la route de notre radical dynamiteur. Le lieutenant Geronimo Minneli qui mène les deux enquêtes, est persuadé, contre l'avis de ses supérieurs, que l'arrestation du prédateur sexuel permettrait de conduire vers le dangereux poseur de bombes, à l'immuable procédure, en fait trois bâtons de dynamite, un réveil-matin trafiqué, un simple déclencheur, le tout dissimulé dans un anonyme et discret sac en papier.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Ce petit polar de série B est passé complètement inaperçu lors de sa brève sortie dans l'hexagone. Pourtant, sa réalisation nerveuse et son interprétation de qualité auraient dû inciter l'improbable distributeur (Alpha-France, spécialisé dans les films pornographiques) à un peu plus de jugeote et de pertinence, dans le circuit d'exploitation, souvent limité aux seules salles secondaires. De plus, Chuck Connors est vraiment remarquable dans son interprétation maladive d'une personnage dramatiquement déterminé et hautement borderline.
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