Quatrième et dernier long métrage d'un réalisateur britannique étonnant de sincérité et de pertinence qui nous avait déjà séduit, par le passé, avec une émouvante trilogie fortement autobiographique et qui, cette fois-ci, avec une incisive et redoutable sagacité, dévoile une flagrante injustice historique et politique, teintée d'un discret hommage au bienvenu cinématographe et à ses fragiles ancêtres, les montreurs d'ombres, les lanternes magiques et autres rudimentaires kinétoscopes.