Aucun résultat pour cette recherche
CAMARADES-1986-
Nationalités : Australie / Grande-Bretagne
Titre VO : Comrades, a lanternist's account of the Tolpuddle martyrs and what became of them
Durée : 3h03
Date de sortie en France : 23/07/2014
Themes
Milieu rural
- cinéma britannique -
Représentant(e)s du culte
- cinéma britannique -
Milieu judiciaire et juridique
- cinéma britannique -
Chiens
- cinéma britannique -
Singes
- cinéma britannique -
Milieu du cinéma
- cinéma britannique -
Travestis(sement)
- cinéma britannique -
Racisme
- cinéma britannique -
Photos et photographes
- cinéma britannique -
Réalisation : Bill DOUGLAS
Scénario : Bill DOUGLAS
Prise de vues : Gale TATTERSALL
Produit par Simon RELPH
Distributeur : UFO Distribution
Visa d'exp. : 140006
Résumé
1834, dans le petit village rural de Tolpuddle, situé dans le comté du Dorset, au sud de l'Angleterre, quelques paysans du cru, excédés par les médiocres rémunérations et les scandaleuses conditions d'existence proches du servage, décident de se regrouper dans une communauté agricole à connotation syndicale pour défendre leurs droits légitimes et leurs justifiées revendications, face aux riches propriétaires terriens et autres prospères fermiers. Finalement six d'entre eux vont être arrêtés et, après un inique et partial procès, condamnés à la déportation en Australie. Nous suivons ainsi leur destin, pénible et douloureux pour certains, tel celui de James Hammett, vendu à un bellâtre, comme mule pour faire avancer son wagonnet sur une ligne ferroviaire privée ou celui de James Brine, obligé de casser de la pierraille sous la férule d'un gardien sadique, alors même qu'en Angleterre, un actif et tenace comité d'aide et de soutien, dirigé par l'efficace Mr Pitt, se met en place afin d'obtenir leur grâce.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Quatrième et dernier long métrage d'un réalisateur britannique étonnant de sincérité et de pertinence qui nous avait déjà séduit, par le passé, avec une émouvante trilogie fortement autobiographique et qui, cette fois-ci, avec une incisive et redoutable sagacité, dévoile une flagrante injustice historique et politique, teintée d'un discret hommage au bienvenu cinématographe et à ses fragiles ancêtres, les montreurs d'ombres, les lanternes magiques et autres rudimentaires kinétoscopes.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire