Aucun résultat pour cette recherche
LES BAS-FONDS-1957-
Nationalité : Japon
Titre VO : Donzoko
Durée : 2h05
Date de sortie en France : 28/01/1981
Genre : DRAME
Themes
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma japonais -
Samouraïs et ronins
- cinéma japonais -
Bidonvilles et autres taudis
- cinéma japonais -
Réalisation : Akira KUROSAWA
Inspiration : D'après la pièce de théâtre éponyme de Maxime GORKI
Prise de vues : Kazuo YAMAZAKI
Musique : Masaru SATO
Produit par Sojiro MOTOKI et Akira KUROSAWA
pour Toho
Nota
Durée intégrale : 2h17.
Distributeur : Connaissance du Cinéma
Visa d'exp. : 50036
Résumé
Nous sommes en 1860, dans les sordides bas-fonds du quartier d'Edo, dans l'ancestrale ville de Tokyo. Là, grouille un monde interlope de déshérités, véritable lumpenprolétariat, qui survit péniblement dans la misère et l'alcoolisme. On y rencontre un ancien acteur, un samouraï déchu, une jeune prostituée, un joueur impénitent, un brutal voleur, un ferrailleur, son épouse moribonde et un sage bonze. Tout ce "beau" monde va s'affronter dans d'incessantes et médiocres querelles.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Une scène inoubliable de danse et de beuverie collectives !
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Note : 13/20
: Gorki ilustré par Kurosawa en 1957 : une transposition juste, filmée comme un théâtre, sauf qu'on a vite l'impression de se retrouver au milieu d'un groupe de refaiseurs de monde à peine conscients de l'endroit où ils sont, comme les ivrognes en fin de soirée... Des fulgurances pourtant, quelques grandes vérités : dommage que les femmes susceptibles d'apporter la variante espérée font de si courtes apparitions. L'adultère vient mettre un peu de piquant dans le déroulement. Un seul personnage vraiment attachant, celui habillé de clair débarquant avec sa face de clown, le brave type, sans lui, il y avait de quoi décrocher tant c'est oiseux, avec ce fond permanent d'austérité des oeuvres "féodales" asiatiques... Autre réussite, le numéro final, ce délire dansé avant cette chute incroyable, j'étais aidée par le commentaire en bonus sur le dvd, mais ça vaut le coup de rembobiner pour contempler une deuxième fois la prostration générale.
Bibliographie