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LE CHEVALIER DES SABLES-1965-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The sandpiper
Durée : 1h56
Date de sortie en France : 24/09/1965
Themes
Représentant(e)s du culte
- cinéma américain -
Motels
- cinéma américain -
Peintres, peinture et tableaux
- cinéma américain -
Nota
dans la séquence du motel, la voix off, censée être celle de Robert Webber,
est en fait celle de ... Peter O'Toole
Distributeur : MGM
Visa d'exp. : 30803
Résumé
Laura Reynolds est une solitaire femme peintre qui vit avec son jeune fils Danny dans une vaste maison sise sur le sauvage et splendide rivage californien de Big Sur. Ce dernier est placé par un juge d'enfant dans une institution religieuse pour avoir abattu un daim. Une visite du responsable, le pasteur Edward Hewitt, à la mère de l'enfant, fait naître bien des attirances entre ces deux caractères fort opposés.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Oeuvre fort pessimiste, teinte d'amertume, qui flirte avec le mélodrame flamboyant sans en atteindre toute sa rigueur et splendeur.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Vincente Minnelli, pourtant réalisateur de premier ordre, connaît bien mal le milieu des hippies. Comment croire que la boudinée Elizabeth Taylor et le monolithique Charles Bronson puissent jouer des beatniks sans tomber dans le ridicule ?
Note : 17/20
Eternel dilemme des passions à vivre dans le temps imparti. Je trouve l'histoire du trio plausible et estime que les copains de la dame traduisent le côté immature des bandes, peu importe que le mouvement "Flower Power" passe pour intellectuellement évolué quarante ans plus tard, il avait aussi ses ridicules ! En attendant, l'oiseau et son attelle symbolisent la crise qui se prépare entre deux milieux que tout devrait opposer. C'est tourné à "Big Sur", que c'est beau ces vagues fougueuses, l'exigence d'espace de ces années-là, l'abri en bord de mer, la peinture offrant de se suffire à soi-même là où on se sent bien, toujours discutable avec un enfant à élever. La nature est photographiée comme pour nous dire que tout ne cesse jamais de se transformer. Le charme général vient des paroles prononcées (elles ne sonnent jamais le creux), des expressions et de l'interprétation des deux monstres sacrés (Burton et Taylor) derrière le dos de la plus que parfaite épouse dans sa jupe boutonnée à l'arrière (Eva Marie Saint). Sans en approuver les effets, on comprend la bigamie !
Bibliographie