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JUNGLE JACK-1993-
Animation
Nationalités :
Danemark52 / Suède198 / Norvège
Titre VO : Jungledyret
Durée : 1h15
Voix Uniquement
Distributeur : NDP
Résumé
Dans la forêt tropicale vit une étrange et unique petite bête qui répond au nom de Jungle Jack. Isabella, une star de cinéma, demande à son financier de mari de capturer Jungle Jack. Celui-ci leur échappe, mais, épuisé, s'endort dans une bananeraie. Malheureusement pour lui, le matin suivant est le jour de la récolte. Sans s'en rendre compte, il se retrouve dans un sac hermétiquement fermé et est transporté en camion jusqu'à un cargo en partance pour l'Europe. Le yacht d'Isabella est également hissé sur le navire. Là, le cuisinier, Charlie, surnommé Charlie-la-boulette, le protège et empêche l'actrice de s'emparer de lui. A l'arrivée au port, il confie Jungle Jack au zoo. La nuit, deux hommes, le financier et un complice patibulaire, pénètrent dans le zoo pour voler Jungle Jack qui glisse entre leurs mains et se met à errer dans la ville inconnue. Il se réfugie sur le toit d'un immeuble où il passe la nuit. Le lendemain, il rencontre Sabrina, caniche femelle imbue d'elle même, chez qui il passe la soirée, servant de nouveau jouet aux enfants de la maison. Ensuite, il retrouve une jeune renarde, Rita, qui était venue faire un petit tour près de sa cage la nuit précédente. Ils sympathisent, puis échappent, au terme d'une course éperdue sur une planche à roulettes, à une bande de gros matous de qui Jungle Jack s'est moqué. Mais après les chats, ce sont des sbires à la solde d'Isabella qui, aidés de leurs chiens, pourchassent le petit animal. Après bien des péripéties, Jungle Jack réussit à regagner le port et à grimper dans le cargo où il retrouve Charlie qui le reconduira jusqu'à sa jungle natale où il pourra, de nouveau, mener une vie insouciante et joyeuse.
Critique
Critiques - Commentaires Public
6072
Jungle Jack est un film d'animation dans la lignée d'Oliver et d'Olivia ou du Secret de Moby Dick de Jannik Hastrup qui sont sortis en France ces deux dernières années. Flemming Quist Møller a d'ailleurs collaboré à plusieurs reprises avec Jannik Hastrup. Les ingrédients du genre sont tous là : un petit animal sympathique, des méchants ridicules et régulièrement bafoués, des gags réussis, des poursuites traitées avec dynamisme, le tout agrémenté ici et là de quelques chansons qui ponctuent le récit. Ça ne prend jamais des allures de chef-d'œuvre et ça n'en a d'ailleurs jamais la prétention. Un agréable produit qui réjouira principalement les plus petits.
Bibliographie