On gardera surtout l'extraordinaire interprétation de l'acteur Alexei Petrenko dans le rôle du dément personnage. Pour le reste, malgré une constante volonté d'accrocher à la vérité historique ou d'en rester proche, par l'insert de séquences documentaires, le film oscille sans cesse entre le baroque, le didactisme et une certaine grandiloquence brouillonne, sans jamais trouver ses marques personnelles.