Aucun résultat pour cette recherche
HOUDINI LE GRAND MAGICIEN-1953-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Houdini
Durée : 1h46
Date de sortie en France : 05/11/1954
Genre : BIOPIC
Réalisation : George MARSHALL
Scénario : Philip YORDAN
Inspiration : D'après un livre de Harold KELLOCK
Prise de vues : Ernest LASZLO
Musique : Roy WEBB
Production George PAL
Distributeur : Paramount
Visa d'exp. : 14635
Résumé
A magician among the spirits...

Libre adaptation de la vie du célèbre magicien Harry Houdini (1874-1926) qui avait conquis les foules, grâce à certains de ses tours, d'une extraordinaire fantaisie et d'une indéniable originalité. Au départ, simple employé subalterne dans les foires et les fêtes foraines, il fait la rencontre d'une jeune étudiante prénommée Bess qui devint son épouse et sa partenaire. Durant un certain temps, sur les injonctions répétées de sa compagne, il quitta le milieu incertain de l'illusion et des représentations itinérantes pour exercer le rassurant et stable métier de serrurier, ce qui lui permit paradoxalement d'asseoir ses connaissances sur le mécanisme complexe de certaines serrures et de reprendre finalement son sacerdoce, avec de nouveaux numéros construits sur l'évasion de coffres-forts ou autres habitacles hermétiquement fermés. Lors d'un voyage en Europe, son défi et son évasion d'une cellule de prison de Scotland Yard verrouillée avec sophistication, lui valurent bientôt une évidente et durable notoriété. De retour triomphalement aux States, accompagné du dévoué et zélé assistant d'un mystérieux illusionniste allemand décédé, il met en place plusieurs étonnantes attractions (se libérer d'une camisole de force, suspendu dans le vide, du haut d'un immeuble ou s'échapper d'une malle cadenassée, précipitée dans les eaux glacée d'une rivière.) Le décès de sa mère lui fit quitter la scène momentanément et se consacrer au spiritisme, avec une réelle obsession d'entrer en contact avec la défunte.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Indéniablement une sympathique production Paramount, avec un Tony Curtis convaincant dans son imparable interprétation, une Janet Leigh égale à ses moult prestations antérieures et une ribambelle d'acteurs de seconde zone, présents et parfaits dans leurs rôles annexes. Accessoirement, une oeuvre qui fut l'une de mes premières terreurs enfantines dans une salle de cinéma...
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Bibliographie