En septembre 1974, à la sortie du film, nous écrivions que les trucages étaient fort réussis, entre effets spéciaux inquiétants et maquillages déconcertants, mais que malheureusement la thématique du film était en grande partie desservie par une "efficace" mise en scène hélas souvent grand-guignolesque. Plus de quarante années plus tard, en visionnant la version "director's cut", notre point de vue n'a pas varié d'une pénitence, trouvant même le prologue fort long et les éloges de l'époque bien dithyrambiques, en prenant en compte, aujourd'hui, le perfectionnement technologique des trucages, avec les évidents débordements et raffinements concomitants.