Aucun nazi des camps de Gross Rosen Orianenbourg et Mathausen ne peut tuer les pensées de Géo. Il écrit en cachette, bien sûr, des lettres à sa femme Guili. Il n'y est question que de bonheur, passé et à venir. Bonheur d'avant les camps, traqué, ressassé, analysé. Bonheur d'après les camps, tellement espéré, bâti à la main, brodé.
Source : Matériel de presse