La violence existe, elle se rencontre partout, elle est en soi, nécessité organique.
Du ventre de la mère, jusqu'aux murs de la cité, l'enfermement impulse le cri.
Ce désir de l'ouverture. Entre ses quatre coins, ses quatre cordes, le boxeur est de fait dans le ventre du monde. La défaite lui est interdite. "Fuis la nuit", regarde droit ce combat et tente de placer le public dans la conscience même de cette violence.
Source : Matériel de presse