Aucun résultat pour cette recherche
SA MAJESTE LA FEMME-1926-
Nationalité :
États-Unis231
Distributeur : Fox Film Corporation
Résumé
L'éternel féminin...
Dans un prologue préhistorique, nous retrouvons le couple mythique, Adam et Eve, lors d'un réveil matinal (plutôt ingénieusement percutant.) Monsieur lit son journal, gravé sur une solide pierre de taille, et Madame évoque les soldes à venir, notifiées sur des feuilles de figuier, qui lui permettraient de renouveler sa précieuse garde-robe, toujours en manque de nouveautés vestimentaires. Alors que son époux s'en va au travail, en empruntant les transports collectifs de l'époque, la jeune femme est mise en forte tentation par le vilain serpent du coin...
De nos jours, Adam (Smith) est un fringant plombier new-yorkais travaillant en collaboration avec son ami Eddie Mac Swiggen. Sa compagne Eve, qui aspire au luxe et aux froufrous divers, est victime d'un stupide accident de la circulation, sauvagement éclaboussée par une voiture avec chauffeur, qui s'avère être celle du célèbre modiste Josef André, accompagné de son inséparable et obséquieux assistant. Notre faraud couturier, conquis par la belle, veut l'engager comme mannequin et notre séduisante créature devra tout tenter pour convaincre son mari, de sa soudaine envie de travailler dans le milieu de la mode. De plus leur voisine de palier, l'insidieuse et sournoise Alice Atkins, va semer sans arrêt la zizanie dans le couple.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Même si les séquences préhistoriques véhiculent des trucages (volontairement ?) niais et grossiers, on n'oubliera pas la succulente scène de pastiche entre George O'Brien et Heinie Conklin, mimant le comportement autoritaire, nécessaire avec l'épouse, toujours en nouvelle demande financière. Ni d'ailleurs l'interprétation parfaite de George Beranger, acteur extraordinaire qui, dans maints films de l'époque, savait toujours nous faire rire et sourire, avec son air pincé, prétentieux et guindé.