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TOUS EN SCENE-1953-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The band wagon
Durée : 1h52
Date de sortie en France : 23/07/1954
Réalisation : Vincente MINNELLI
Prise de vues : Harry JACKSON
Musique : Arthur SCHWARTZ
Collaboration aux décors : Cedric GIBBONS et Preston AMES
Chorégraphie : Michael KIDD
Distributeur : MGM
Visa d'exp. : 14541
Résumé
Une vedette de music-hall, tombée dans l'oubli, parvient, grâce à la complicité et au talent de deux amis scénaristes de comédies musicales, à redevenir le chouchou du public en faisant un étonnant triomphe à New-York.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Avec "Chantons sous la pluie", ce film est un classique parmi les classiques de la comédie musicale. La gaieté, la fraîcheur et la qualité de son excellente interprétation ne semblent avoir pris aucune ride. La prestation du mythique couple Fred Astaire / Cyd Charisse, reste un grand moment de cinéma.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Un pur joyau de la comédie musicale hollywoodienne, le talent du grand Fred Astaire et de Cyd Charisse, les plus belles jambes d'Hollywood, et quelles jambes, je ne vous dis pas, pas des baleines de parapluie. Le passage culte de ce film, le "girl hunt ballet" on ne peut passer à côté, seul regret pour ce film, aucun Oscar, il en méritait plus d'un, aussi bien pour la mise en scène que pour l'extraordinaire talent de ses stars. Injustice , irréparable, je ne pardonne pas.
Note : 16/20
Cette comédie musicale concoctée par Vincente Minnelli peut être savourée sans souffrir une seconde si on se fatigue vite du genre (quand bien même les cuivres pèsent un peu à l'oreille). Constatons qu'un courant de comédies musicales déferle depuis fin 2010 début 2011. Une chance que dans celle-ci se glissent suffisamment de subtilités. Sinon, on se prenait un divertissement digne des gros industriels du cinéma des années Trente Quarante en réaction à la sinistrose : plein les yeux et les oreilles, si vous bâillez, c'est que vous êtes un(e) sacré(e) rabat-joie... Ouf, en plus du spectacle toujours très enlevé (restent en mémoire le cireur, les triplets, ce mouvement de robe blanche à plis soleil), rendez-vous avec l'humour, un minimum d'intrigue et, cerise sur le gâteau, une satire des coulisses du spectacle, un monde où, pour exister, il faut composer avec ce qui se présente.
Bibliographie