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PILLARS OF SOCIETY-1916-
Film Muet
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Pillars of society
Durée : 0h52
Genres : FILM MUET / DRAME
Themes
Représentant(e)s du culte
- cinéma américain -
Bateaux de croisière
- cinéma américain -
Hôtels
- cinéma américain -
Réalisation : Raoul WALSH
Scénario : Frank WOODS
Inspiration : D'après la pièce de théâtre éponyme de Henrik IBSEN
Production D.W. GRIFFITH
Résumé
Le grand armateur norvégien Karsten Bernick, véritable magnat de l'industrie navale, est à la tête d'un puissant empire manufacturier et commercial qu'il s'est peu à peu érigé, à force d'opiniâtreté et de manigances, n"hésitant pas à spolier son entourage, même le plus proche. Dès sa période estudiantine, dans le milieu huppé de la société parisienne, il a une liaison avec la sympathique Linda Duff, rencontrée lors d'une réception mondaine, malgré ses tacites engagements affectifs, au pays, envers Lona Tonnesen, une aimable et douce voisine. De retour en Norvège, il finira par épouser Betty, une riche héritière nordique. Lorsque Linda, de passage en Norvège, vient lui annoncer qu'il est le père d'une petite fille, prénommée Dina, notre vil personnage n'hésite pas à demander à son beau-frère Johan d'assumer cette paternité et de quitter la région pour les States, acceptant, bon prince, d'adopter l'enfant, au décès de sa mère. Les années passent et les affaires prospèrent d'une façon exponentielle, toujours entachées d'intrigues et de malversations dont la dernière concerne un litigieux mais juteux projet dans les chemins de fer. Et lorsque Johan décide un jour de rentrer, afin de dévoiler la vérité sur l'odieux personnage, Karsten, sans scrupule, met en place le sabotage de "l'Indian Girl" le bateau qui doit le ramener de New York en Norvège.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Le succulent plaisir de s'immerger à nouveau dans les subtiles embrouilles et magouilles familiales et sociales chères à l'illustre dramaturge norvégien, se double d'un réel bonheur cinématographique, à travers la perception et le traitement visuels d'un surprenant Raoul Walsh en plein essor créatif.
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