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MONSIEUR MAX-1937-
Nationalité :
Italie92
Titre VO : Il signor Max
Durée : 1h26
Themes
Réalisation
:
Mario CAMERINI
Scénario
:
Mario SOLDATI
D'après un sujet de
Amleto PALERMI
Prise de vues
:
Anchise BRIZZI
Musique
:
Renzo ROSSELLINI
Distribution
(sous le nom "Adonella")
(sous le nom "Vivien Diesca")
Résumé
Trompeuses apparences...
Modeste et sympathique vendeur de journaux dans un kiosque du centre-ville, le dénommé Gianni obtient de son ami Max Varaldo, un jeune homme fort riche, un billet pour une croisière de luxe en Méditerranée. Pour se mêler au beau monde et ne pas trop dépareiller, il s'achète un joli costume et peaufine un comportement d'homme aisé et parvenu. Subjuguée par l'aristocratique et séduisante Donna Paola, il va lui faire la cour et prendre l'identité de son copain Varaldo dont le nom figurait sur l'étui de l'appareil photo prêté par ce dernier. C'est avec une opiniâtre obstination qu'il va tenter de se faire admettre dans ce milieu frivole et mièvre où seuls comptent l'apparence et le paraître. De retour dans sa banale existence quotidienne, il décide de parfaire son aspect et son comportement en apprenant la subtile langue de Shakespeare, les règles studieuses du bridge et quelques autres stupides attitudes de la haute bourgeoisie. Tout ce complique lorsque Lauretta, la romanesque femme de chambre croit reconnaître dans le modeste vendeur de journaux, le raffiné courtisan de sa maîtresse.
Modeste et sympathique vendeur de journaux dans un kiosque du centre-ville, le dénommé Gianni obtient de son ami Max Varaldo, un jeune homme fort riche, un billet pour une croisière de luxe en Méditerranée. Pour se mêler au beau monde et ne pas trop dépareiller, il s'achète un joli costume et peaufine un comportement d'homme aisé et parvenu. Subjuguée par l'aristocratique et séduisante Donna Paola, il va lui faire la cour et prendre l'identité de son copain Varaldo dont le nom figurait sur l'étui de l'appareil photo prêté par ce dernier. C'est avec une opiniâtre obstination qu'il va tenter de se faire admettre dans ce milieu frivole et mièvre où seuls comptent l'apparence et le paraître. De retour dans sa banale existence quotidienne, il décide de parfaire son aspect et son comportement en apprenant la subtile langue de Shakespeare, les règles studieuses du bridge et quelques autres stupides attitudes de la haute bourgeoisie. Tout ce complique lorsque Lauretta, la romanesque femme de chambre croit reconnaître dans le modeste vendeur de journaux, le raffiné courtisan de sa maîtresse.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Petite comédie alerte et grinçante sur la profonde futilité d'une certaine aristocratique face à la simplicité et au bon sens du petit peuple, doublée d'une avenante et sympathique distraction à connotation sentimentale.
Bibliographie
FICHE de Monsieur Cinéma