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PICTURE SNATCHER-1933-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Picture snatcher
Durée : 1h17
Film Inédit en salle en France
Réalisation : Lloyd BACON
Inspiration : D'après l'histoire de Danny AHERN
Prise de vues : Sol POLITO
Musique : Leo F. FORBSTEIN
Distributeur : Warner Bros et Vitaphone
Résumé
A peine sorti de la prison de Sing Sing, après trois années de détention, le remuant Danny Kean est accueilli avec enthousiasme et sollicitude par les autres membres de sa bande qui déchanteront rapidement lorsqu'il leur annonce son irrévocable intention de quitter le milieu de la pègre et de se recycler dans l'honnête emploi de journaliste. En effet, lors de son séjour à l'ombre, il avait été contacté, lors d'un reportage sur l'univers de la prison, par un certain Mac Lean, rédacteur en chef alcoolique d'un quotidien à scandales, le Graphic-News, dont la spécialité est l'article et le reportage illicite sur les travers de la société, la turpitude des nantis et des arrivistes et les drames sordides du quotidien. Après avoir réussi à dérober une photo d'un pompiste armé et barricadé chez lui, après le décès dans un incendie, de sa femme et de son amant, en se faisant passer pour un agent des assurances, il est engagé par le journal en question. Son attirance pour une fringante étudiante est fortement handicapée par le métier de son paternel, un agent de police, le capitaine Nolan, qui connait parfaitement le passé de l'amoureux prétendant. Après avoir volé à un collègue enivré, un laisser-passer pour assister à la condamnation à mort sur la chaise électrique d'une détenue, il parvient à prendre frauduleusement une photo de l'exécution capitale. Un comportement inacceptable qui va lui attirer les foudres de la police et la nécessité de se faire discret un certain temps. Le hasard d'un dramatique fait divers, la mort de deux policiers abattus par une de ses anciennes connaissance du milieu, va permettre à Danny Kean de se racheter.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Comme souvent, l'omnipotent James Cagney phagocyte l'ensemble de la mise en scène, vibrionnant à qui mieux mieux, avec une incroyable faconde, un brin de galanterie, un zeste de machisme, dans une œuvre somme toute sympathique dont nous ne retiendrons que le frais minois de Patricia Ellis et quelques plans documentaires sur l'univers technique et professionnel d'un journal.
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