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LA TOUR INFERNALE-1974-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The towering inferno
Durée : 2h44
Date de sortie en France : 01/03/1975
Themes
Architectes
- cinéma américain -
Inspiration
Prise de vues : Joseph F. BIROC et Fred KOENEKAMP
Musique : John WILLIAMS
Distributeur : Columbia
Visa d'exp. : 43671
Résumé
Un incendie éclate dans le plus haut building du monde, lors de son inauguration.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Certainement un des meilleurs films-catastrophe du genre, avec une brochette de vedettes internationales pour un brasier de fin du monde. On se laisse emballer, enflammer sans réserve. En effet, on prend un réel plaisir à retrouver Steve Mac Queen alias O'Hallorhan, en chef des pompiers, Paul Newman alias Doug Roberts en architecte, et William Holden, alias James Duncan, en sénateur.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Un des plus grands films catastrophes. Des scènes d'action excellentes de par leurs trucages et réalisation. Tous les acteurs se donnent le mot pour donner à ce film splendide, la dimension qu'il mérite .
Un opus catastrophe bien ficelé, avec en prime la constitution, le temps d'un incendie mémorable, de quelques grosses pointures hollywoodiennes, imposantes en leurs temps, puis laissées pour compte, pour être enfin rapatriées temporairement dans le produit concept de référence de ces années soixante dix où les cinéastes américains consacrent leurs pellicules à la destruction en tout genre. Le récit tient bien la route, en intégrant intelligemment une action soutenue, formatée par le désastre d'une construction au rabais, ceci alimentant parfaitement malgré sa virtualité le concept de la magouille, élément bien présent dans nos sociétés.Ceci permet, malgré quelques clichés psychologiques un peu lourd, d'adhérer pleinement à cette aventure dramatique, pleine de suspense, montrant tout près du ciel un catalogue humain hétéroclite comprenant entre-autres le pompier lucide et visionnaire, des conditions de plus en plus déplorables de l'exécution de son métier, de l'architecte honnête, de l'ingénieur alcoolique manipulé, pour se terminer par le patron véreux et carriériste en rédemption.Un bon film montrant nos chers contemporains dans une thématique leurs permettant de se vêtir de tous les états.
Bibliographie