Autant relire le roman de Pauline Reage qui avait d'évidentes et "attachantes" sincérités copulatives, autant fuir cette morne adaptation cinématographique guindée et souvent ridicule, suintant à défaut de stupre et de foutre, le clinquant et l'artificiel mal léchés. Alice au pays de la frime et de la soumission, du sous-Hamilton pseudo-érotique pour frileux handicapés de la bagatelle.