Une oeuvre abjecte qui présente le courage et l'héroïsme à hauteur de "couilles-mitraillettes", la guerre, comme une sainte nécessité, l'ennemi comme un sous-homme, sans honneur ni patrie. Un film "pute" à l'extrême, évoquant la torture en l'excusant, décrivant des exécutions et des ratonnades, les justifiant pour la noble cause. Uniquement pour "moraliser" le film, lui évitant les foudres de la censure, actes criminels pratiqués par tous, réprouvés par une minorité et pourtant encensés pour un devoir au-dessus des lois, de l'humanisme, du bons-sens.