Critique de
inconnu(e)
Inspiré plus ou moins du roman au profit d'une création originale guère convaincante. L'attention est régulièrement détournée sur une "vamp" capricieuse aux formes généreuses ou une beauté indigène court vêtue. Le monde perdu et son bestiaire préhistorique en devient accessoire au point que nos héros, souvent comparables à une bande d'écervelés lâchés dans un parc exotique de centre ville, achèvent leur périple sous terre ; partie la plus réussie selon moi, la création d'un tel environnement se prêtant mieux au carton-pâte.