Aucun résultat pour cette recherche
Nota
Film en trois parties
Résumé
Mira, l'épouse du prince Egon de Monte Cabello, est fort jalouse des relations de son mari avec la comtesse de la Croix et la promiscuité de ces derniers va bientôt provoquer un divorce à l'amiable et une garde de leur petite fille Diana, attribuée à la mère. Commence une nouvelle existence pour Mira qui, acceptant l'invitation du marquis de Beaurivage de patronner un gala de charité pour aider des enfants défavorisés, fera la connaissance de l'acteur Jacques Wilson avec lequel elle est censée interpréter quelques courtes scénettes. Elle accepte, au cours des répétitions de conduire ce dernier, avec son chauffeur et sa voiture, auprès de la mère du jeune homme, gravement malade. Cette serviable escapade est photographiée à leur insu par deux détectives privés, sous l'injonction de la vile comtesse de la Croix. Les conséquences négatives ne se feront guère attendre, des potins commencent à circuler dans quelques journaux à scandales et bientôt une assignation judiciaire l'oblige à laisser sa fille à son père, désormais chargé de son éducation...
Une année plus tard, à Monte-Carlo, Jacques Wilson, en profonde addiction avec les jeux de hasard est parvenu à vendre les derniers bijoux de Mira qui devra accepter le chantage de ce dernier, concernant une lettre de sa fille, remise uniquement si elle donne son accord pour se produire sur scène, dans un spectacle de music-hall au "Grand Clou", une salle à la mode. Après une vaine tentative pour retrouver sa fille dans l'ancienne résidence de vacances cannoise, avec la complicité de la gouvernante Fanny, elle consent finalement à signer le contrat. Lors de la première représentation, après une mémorable interprétation dansée, elle tentera de se suicider avec le poignard d'un comédien. Son ancien mari, prévenu de l'épisode tragique, l'emmènera se soigner chez lui, pour de bénéfiques retrouvailles avec sa fille fort malheureuse.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 15/20
Œuvre sympathique et bienvenue, restaurée par la cinémathèque de Bologne, avec la grande diva de l'époque, la prolifique Francesca Bertini dont nous retiendrons tous la fameuse séquence de "la danse de la mort" aimantée par une incandescente partition musicale créée en 2014 par Daniele Furlati, un compositeur contemporain à suivre, ceci à l'occasion du toujours bienvenu festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne.