Rien de notable dans cette œuvre gentillette du grand Julien Duvivier hormis peut-être un soin particulier apporté aux décors, une incandescence et courte composition de Robert Le Vigan et le hasardeux voisinage de ce dernier avec Robert Lynen, l'un chantre collaborationniste du national socialisme allemand et l'autre, résistant d'une vingtaine d'années finissant sous les balles nazies, en avril 1944.