L’adaptation de cette autobiographie est sympathique, mais trop folklorique. Jacques Dufilho a un visage aussi rude que celui de Pierre-Jakez Hélias. Il manque un personnage féminin de la même trempe qui ne manquait pas à cette époque car elle portait la coiffe, symbole de puissance, qui a donné le nom à cette région de la Bretagne (pays Bigouden).
Lire : La coiffe bigoudène,
Le Guilvinec.
Monde en Question