Déjà à cette époque, le remuant Gérard Pirès nous accable de ses incessantes explosions et courses-poursuites, (ici les voitures de police, demain des taxis) dans une oeuvre bâtarde et fourre-tout qui accoste rarement au degré de folie et de délire "hénaurme" auxquels on était en droit de nous attendre, au vu des potentialités débordantes du roman éponyme de Charles Williams.