Lydia Marakova chante dans une taverne où le Prince Karagin vient l'écouter. Tous deux se plaisent, mais la famille de Lydia est bolchévique et participe à un attentat contre le père de Karagin. Lydia et les siens sont déportés en Sibérie. Bientôt, le Prince est contraint à l'exil, car la révolution éclate. A Paris, il chante à son tour et Lydia le rejoint.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
NoteCinéfiches : 12/20
Une production sans intérêt, mais relativement soignée, sauvée de l'oubli par les quelques refrains chantonnés par l'idole de l'époque, Nelson Eddy.