Quatrième réalisation du metteur en scène anglais Charles Crichton, chapeautée par les célèbres studios britanniques Ealing, creuset de bien des chefs-d'oeuvre du genre, qui malgré certaines invraisemblances et longueurs, finalement peu préjudiciables à l'histoire et donc bien vite oubliées, mérite une découverte, même tardive, de ce petit fleuron du fameux humour british, souvent encensé.