Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • MENSONGE (1992)
    Note : 9/20
    Interprétation souvent larmoyante, alourdissant une réalisation sans guère de vigueur. Sincère peut-être, mais bien maladroit finalement.
  • LE MARI DE LEON (1992)
    Note : 6/20
    Vulgaire et bête, bête et vulgaire !
  • ARSENAL (1929)
    Note : 14/20
    Malgré un réel souffle épique, le film manque profondément d'unité dramatique.
  • JUSTE AVANT L'ORAGE (1991)
    Note : 12/20
    Une premiere oeuvre dont les dialogues sont, pour notre plus grand plaisir, extrêmement soignés.
  • DOUBLE ASSASSINAT DANS LA RUE MORGUE (1932)
    Note : 15/20
    Un des grands rôles de Bela Lugosi, superbement dirigé et dérangé.
  • MA BELLE-MÈRE EST UNE SORCIÈRE (1988)
    Note : 6/20
    Et des cinéphiles désabusés par tant de niaiseries accumulées sur un écran. Et dire que c'est la dernière apparition de Bette Davis au cinéma.
  • LE SOUFFLE DU FUTUR (1989)
    Note : 8/20
    Fort insignifiant et lourdement prétentieux.
  • LE ROI ET MOI (1956)
    Note : 13/20
    Sans atteindre les sommets d'autres classiques de la comédie musicale, le film comprend d'excellents moments et l'interprétation est savoureuse de bout en bout.
  • LEIDENSCHAFTEN (1971)
    Note : 12/20
    Film revendiquant ses maladresses dont l'amateurisme est exploité de manière convaincante. Au bout du compte, une oeuvre difficile mais réjouissante pour l'oeil.
  • FLAXY MARTIN (1949)
    Note : 9/20
    Petit polar mou avec un Zachary Scott d'une ennuyeuse et constante insignifiance.
  • WEEK-END SAUVAGE (1976)
    Note : 10/20
    D'une hyper-violence qui tend à prôner la justice individuelle.
  • CAPRICORNE ONE (1977)
    Note : 15/20
    Excellente oeuvre dénonciatrice et en prime, menée tambours battants !
  • OPPOSITE SEX (1992)
    Note : 7/20
    Les personnages s'adressent au spectateur comme dans certains films de John Hughes ou le recent "Singles". Tout est mis en oeuvre pour seduire un public facile et avide de bons sentiments. L'ensemble s'avere insupportable de lourdeur, de moralisme bon marche et de futilite. A fuir.
  • LE SEIGNEUR D'HAWAÏ (1962)
    Le scénario, digne d'un roman feuilleton à connotation mélodramatique, manque fortement de dimension. A voir, seulement pour les talents de comédien de Charlton Heston et l'ambiance agréable et colorée des paysages exotiques.
  • A CANTERBURY TALE (1944)
    Note : 10/20
    Une oeuvre longuette, désuète et largement surestimée.
  • BULLETS FOR O'HARA (1941)
    Note : 11/20
    Film policier de série ne se distinguant pas pour son originalité ni par ses qualités, mais qui se laisse voir sans provoquer l'ennui, vue la brièveté de l'oeuvre.
  • INTRIGUE AU CONGO (1956)
    Note : 11/20
    Certains morceaux de bravoure sont peut-être à signaler, en particulier la traversée à bord d'un bateau, d'un immense nuage de mouches tsé-tsé. Le reste apparaît bien fade et conventionnel mais la présence de Peter Lorre justifie que l'on s'attarde quelques instants sur ce film plutôt secondaire.
  • COLONEL BLIMP (1943)
    Note : 17/20
    Oeuvre toute en finesse et en humour, difficile à résumer tant elle fourmille de trouvailles et d'intérêt qui mérite à nouveau une prompte sortie sur nos écrans.
  • LE CAMPING DE LA MORT (1987)
    Note : 8/20
    C'est franchement mauvais et l'identité du tueur psychopathe évidente des la première demi-heure.
  • JACK SLADE LE DAMNÉ (1953)
    Note : 14/20
    Un curieux et atypique western de série B bienvenu.
  • LES CHUCHOTEURS (1967)
    Note : 15/20
    Superbe Edith Evans, une actrice haut de gamme à redécouvrir.
  • L'INSTITUTEUR HOFER (1975)
    Note : 12/20
    Malgré le fait que le réalisateur décrypte avec clairvoyance et rigueur les raisons du conflit, le film n'éveille qu'un intérêt relatif par son déficit de tension dramatique.
  • LE TEMPS DE LA PEUR (1958)
    L'ensemble souffre de son aspect romanesque et de l'opposition entre les séquences "psychologiques" et les scènes de combats plutôt violents, témoignant d'une certaine ambiguïté quant à leur bien-fondé.
  • DANS LA SOIRÉE (1990)
    Note : 14/20
    Une oeuvre pleine de doigté et de simplicité, baignée d'un charme certain.
  • AILES DE PAPILLON (1991)
    Note : 13/20
    Une oeuvre trouble non dénuée d'intérêt et de conviction !
  • LE SOUFFLE DE LA VIOLENCE (1955)
    Ce western, dans les traditions du genre, utilise tous les poncifs y afférent, et n'est en fait, guère original. Pourtant la qualité de l'interprétation donne un honnête résultat.
  • FIERROT LE POU (1990)
    Note : 12/20
    Premier passage à la réalisation pour Mathieu Kassovitz. Un exercice de style qui manque d'originalité et nous invite à patienter pour une entrée dans le long métrage.
  • QUAND LA BETE HURLE (1957)
    Note : 14/20
    Un peu théâtral, mais intéressant !
  • SUR LA PISTE DE LA GRANDE CARAVANE (1965)
    Le Cinérama magnifié, les grandioses paysages du Colorado dans cette comédie épique qui s'éloigne du western classique. Si la fameuse bataille des collines est très drôle, l'humour s'essouffle assez vite et l'aspect parodique devient inégal, indécis.
  • L'HOMME QUI MENT (1967)
    Note : 13/20
    Troisième oeuvre cinématographique d'un des émérites papes du nouveau roman, ce cheminement labyrinthique d'un homme en perpétuelle mouvance et recherche de ses possibles, comme un acteur sur scène où sur un écran, dans un récit gigogne adroitement en porte-à-faux, en forme de puzzle mensonger et temporel, peut séduire, laisser indifférent, mais aussi profondément agacer.
  • LES TREIZE (1936)
    Note : 15/20
    Sur un sujet proche de celui d'une oeuvre de John Ford, "La patrouille perdue", une solide réalisation portée par l'excellente photographie de Boris Woltschek.
  • SEPT SECONDES EN ENFER (1967)
    Du western bien ficelé, où l'on ne s'ennuie pas, les personnages et les situations étant bien campés. Il manque cependant dans ce climat de violence, la poésie et l'imagination qu'on pouvait espérer y trouver.
  • LE DERNIER HOMME (1967)
    Note : 6/20
    Si nos trois improbables personnages doivent lutter contre les affres perturbants d'une souveraine et inattendue fin du monde, le spectateur courageux doit, lui, affronter une insipide réalisation post-atomique dans laquelle les acteurs, hautement inspirés, jouent comme des pieds (irradiés) et nous trimballent dans de saumâtres considérations pseudo-philosophiques, guidés par une caméra irresponsable et un prétendu metteur en scène, atomisé de prétention et de fatuité.
  • LA ROSE BLANCHE (1982)
    Note : 12/20
    D'une dramaturgie somme toute assez conventionnelle, le film n'a d'intérêt que par son brûlant sujet et son biopic sur une jeune résistante allemande.
  • TROIS MILLIARDS D'UN COUP (1967)
    La réalisation manque d'envergure et réduit ce vol scientifique a un simple fait divers. Un film de série qui passe inaperçu.
  • LE FRANCISCAIN DE BOURGES (1967)
    Note : 13/20
    Une excellente interprétation de l'étonnant Hardy Krüger, dans un film souvent émouvant, qui n'échappe pas toujours aux écueils du mélodrame facile.
  • P'TITE TÊTE DE TROUFION (1957)
    Note : 9/20
    Une oeuvre à oublier dans la succulente filmographie du grand Jerry Lewis.
  • TOUT OU RIEN (1964)
    Le scénario très habile ne ménage pas les rebondissements et rappelle par certains aspects "Noblesse oblige". De l'humour britannique, noir, caricatural, agrémenté de cynisme qui ravira les amateurs du genre.
  • RENE LALU (1988)
    Note : 12/20
    Galerie de personnages populaires pour ce court métrage bienvenu, réalisé par le futur metteur en scène d'Oostende".
  • STALINGRAD (1992)
    Note : 11/20
    Ce n'est pas la présence d'une trentaine d'acteurs, 25.000 figurants, 100 cascadeurs, 22 poids-lourds, 45 camions, 20 camionnettes, 29 omnibus, 50 voitures, 10 traîneaux à moteur, 25 blindés tchèques, 18 blindés finlandais, 6 avions, un train, 8 tonnes d'explosifs, 200.000 munitions d'artillerie, 10.000 costumes, qui y changeront grand chose ; on est loin d'une oeuvre inoubliable, bien au contraire.
  • VILLE SANS LOI (1955)
    Note : 13/20
    Surtout pour le sympathique duo Randolph Scott / Angela Lansbury.
  • ADRÉNALINE LE FILM (3) (1989)
    Note : 12/20
    Dommage que l'actrice surjoue et que la chute finale n'apporte rien de nouveau au genre.
  • LES VISITEURS (1992)
    Note : 13/20
    On rit souvent, avec décontraction, tellement c'est bête et décalé.
  • UNE SALE HISTOIRE (1977)
    Note : 14/20
    Un récit raconté en deux fois, la première fois par Michel Lonsdale, la seconde fois par Jean-Noël Picq, cette courte réalisation de Jean Eustache oscille entre rigoureux exercice de style et désespérante provocation.
  • RYTHMETIC (1956)
    Note : 16/20
    Décidément Norman Mac Laren est un grand !
  • SEPT FEMMES (1989)
    Note : 15/20
    Troisième volet de la trilogie du metteur en scène Rudolf Thome consacrée aux "Formes de l'amour" après "Le microscope" et "Le philosophe", un conte moderne non dénué d'humour et réalisé avec talent. A découvrir.
  • LA PALOMA (1943)
    Note : 14/20
    Excellente prestation de l'incontournable Hans Albers, aux mélopées marines et viriles bienvenues, pour une oeuvre discrètement émouvante, faussement mélodramatiques, tournée en pleine Seconde Guerre Mondiale, fort mal perçue par Goebbels qui finit par interdire la projection sur le territoire allemand.
  • ADRÉNALINE LE FILM (11) (1987)
    Note : 12/20
    Idée sympathique malheureusement ternie par d'inutiles excès dans les débordements de possession électro-diaboliques de la petite lucarne.
  • MALCOLM X (1992)
    Note : 15/20
    Mise en scène irréprochable comme à l'accoutumée chez Spike Lee. Malheureusement, le scénario se contente de faire l'apologie de Malcolm X sans jamais lancer le moindre regard critique sur le personnage.
  • LE GLADIATEUR DU FUTUR (1983)
    Série Z parfaitement réjouissante dans sa réalisation fauchée et ringarde qui devient drôle, à force de ringardise, de stupidités et de niaiseries.