Aucun résultat pour cette recherche

Critique(s)/Commentaire(s) Publiques de
Aglak 22

  • LES TÉMOINS (2006)
    Et, cher critique, vous avez oublié sa bouche en rebord de pot de chambre. Ou peut-être Emmanuelle a-t-elle roulé une pelle à un frelon? Ou a-t-elle bu un café beaucoup trop chaud? Ou a-t-elle essayé de décapsuler une bouteille de bière avec les lèvres au cours d'une soirée trop arrosée? Ou alors est-elle sponsorisée par Michelin? Ou alors s'est-elle battue avec une autre grognasse pour une montre Cartier lors de ces soirées où les "stars" viennent pour le cadeau gratuit?
  • BOUDU (2005)
    Penser à cette outre à vinasse qu'est devenu le très classieux Depardieu pour jouer le rôle d'un clodo est une idée de génie. Bravo. Vive la France une fois de plus !!!!!!!
  • MARIAGE MIXTE (2004)
    Alexandre Arcady : encore un de nos cinéastes foireux qui nous pond une horreur avec une régularité constante; me fait m'interroger sur le métier de cinéaste? Doit-on être bon pour faire un film? Doit-on avoir du TALENT pour continuer des années durant à nous infliger de tels âneries? La réponse est : NON, bien sûr. Un bon carnet d'adresses, quelques acteurs sur le retour en guise d'amis, et votre carrière est faite. Seul bon point du film : La bombasse Olivia Bonamy que j'aurais aimé voir à poil. Arcady n'y a même pas pensé. Encore bravo!!!!
  • RRRRRRR !!! (2004)
    Le "film" testament d'une des pires troupes (troupeau?) de comiques a deux balles : Les nullissimes "Robin des Bois". Un des plus grand ramassis de pétomanes supposés comiques que la France a trop tendance à encenser. La suite "cinématographique" de cette confrérie de nazes ne fait que confirmer mes dires. Encore une belle brochettes d'imposteurs qui ce sont servis du petit écran pour remplir leur carnets d'adresses. Et que dire des connards qui leur confie des rôles ? Honte à eux.
  • J'ME SENS PAS BELLE (2004)
    Quand on voit la face (et je ne parle pas du reste) de la "fabuleuse" Marina Fois, le titre du film prend d'un seul coup tout son sens. Merci pour cette clairvoyance. Un peu de franchise n'a jamais fait de mal.
  • AU SECOURS, J'AI TRENTE ANS (2003)
    Une de ces fabuleuses nulleries pondue par cette sombre abrutie qu'est Marie-Anne Chazel. Prendre cet imposteur de Pierre Palmade (éblouissant de conneries) pourt incarner le rôle principal, c'est prendre le spectateur pour le dernier des cons. Un bide mérité au box-office a remis les pendules à l'heure.
  • MAIS QUI A TUÉ PAMELA ROSE ? (2003)
    Encore un duo foireux de "comiques" à la française qui se croit bons comédiens. En plus, nous pondre un scénario aussi mauvais mérite des claques. Faire de bons films comiques en France est-ce devenu si dur que ça? A la vue de cette daube, on se dit que oui, c'est dur. Et tout ces "comiques" télés ne peuvent-ils pas rester à la télé justement? Peut-être gagne-t-on plus de fric au cinéma en travaillant moins qu'à la télé? Je crois que je vient de trouver la vraie raison. On n'a donc pas fini de se faire chier devant ce genre de daube.
  • BLOODY MALLORY (2002)
    Au secours!!! Objet filmique totalement raté. Pas drôle, mal joué, effet spéciaux pourris, scénario nullissime, réalisation lamentable. A jeter aux oubliettes du cinéma français ou du coté des bouses infâmes de Luc Besson.
  • LA TOUR MONTPARNASSE INFERNALE (2001)
    Bravo à Charles Nemes d'avoir réuni dans un même film les génialement cons Eric Judor, Ramzi Bedia et la non moins naze (et moche) Marina Fois. Ce trio d'abrutis achèvent de plomber définitivement ce film pourri du début à la fin. Les aventures mongoloïdes de ces trois branques ne sont même pas drôles au 20ème degré. Avoir piqué les effets comiques des "Charlots" (vingt ans après leur séparation), et appeler "ça" un film est déjà difficile à concevoir, mais en plus, ces cons s'imaginent faire du cinéma. A voir un soir de cuite.
  • MEILLEUR ESPOIR FEMININ (1999)
    La seule vraie bonne surprise du film est la charmante Bérénice Bejo. Elle incarne parfaitement la fille de Jugnot. Sinon, pas grand chose à dire de ce film mineur. Vite vu, vite oublié.
  • LE GOÛT DES AUTRES (1999)
    La version cinématographique d'une des pires séries françaises de feu la 5. J'ai nommé : "Voisins, voisines". Aller jusqu'à reprendre le morceau de Mozart au générique (exactement comme la série télé), me fait sérieusement douter de la qualité de ce film. Jaoui et l'insupportable Bacri se foutent de la gueule du monde.
  • LE RETOUR DES CHARLOTS (1991)
    Complètement foiré. Finir comme ça, après nous avoir tant fait rire, c'est plutôt triste.
  • LES FRÈRES PÉTARD (1986)
    Beauf et con comme 99% de la filmo de cette poche à pinard qu'était le pas regretté Jacques Villeret. Ce film beauf et con était déjà totalement ringard au moment de sa sortie.
  • LE FACTEUR DE SAINT-TROPEZ (1985)
    Un film qui remplace allègrement le plus efficace des somnifères. Même pas drôle au 20e degré.
  • Y'A PAS LE FEU (1984)
    Nanar tellement con qu'il frôle par moment le génie. Cette pantalonnade n'est pas crédible un seul instant, mais la connerie ambiante en devient presque hypnotique. En effet, ce truc nous entraîne dans une sorte de 4eme dimension du film "comique" à la française, qui sévissait jusqu'au milieu des années 80. Ce film est le chant du cygne de cette période "prolifique" du cinéma populaire français. Par la suite, les films comiques seront : soit prétentieux, soi cynique, voire les deux à la fois.
  • C'EST FACILE ET CA PEUT RAPPORTER VINGT ANS (1983)
    Ce "film" ultra grave est une des pires purges qui m'ait été infligée. Les "gags" tombent systématiquement au ras des paquerettes. Cette beauferie ne mériter pas tant de haine, mais heureusement que de tels films ne sont plus diffusés (à part sur cette fabuleuse chaîne M6). C'est après ce genre de "chef-d'oeuvre" qu'on regarde les films de Max Pecas avec un certain respect. Merci Robert.
  • VIVE LES FEMMES (1983)
    L'exemple type du film bien foiré. Malgré les délicieux appâts de Catherine Leprince, ce truc ne décolle jamais du caniveau.
  • LES P'TITES TETES (1982)
    L'exemple type du film réalisé par un homme en plein délirium tremens. Mais, à la décharge de Menez, ce film a été réalisé avec des moyens financiers digne d'une production albano-bouthanaise. Mais est-ce une raison de nous infliger ce spectacle digne du meilleur besson? Je réponds: non, monsieur Menez.